On a tous entendu parler d’une réduction d’impôts intéressants dans le domaine de l’immobilier. Il s’agit d’une pratique financière appelée « défiscalisation immobilière » appliquée en résidence secondaire et principale. Il est donc important de mettre au point quelques éclaircissements.
La défiscalisation immobilière : un moyen de réduction des impôts
Dans la défiscalisation immobilière, il y a différents types de dispositif qui convient à chaque individu. Immobilier neuf, ancien, résidence principale ou pied-à-terre, la loi Pinel n’est pas le seul existant. Loi Cosse, Denormandie… l’ensemble des dispositifs ouvre droit à une réduction fiscale présente dans le secteur immobilier.
Propriétaire ou locataire, certaines dépenses sont éligibles à la défiscalisation. Toutefois, cela n’est possible que sous certaines conditions. Il s’agit de l’amélioration du logement, la rénovation d’un immeuble ancien régit sous la loi Malraux, et la couverture des frais de remise en état en cas de départ impromptu d’une locataire.
Défiscalisation : des enjeux économiques pour l’État
Si l’État accorde ces avantages fiscaux, c’est qu’il y a des enjeux économiques à la clé. L’objectif de ces avantages fiscaux est de développer l’offre locative dans les zones dites « tendues » du territoire. Il s’agit notamment des villes et communes. Dans ces localisations, l’offre des logements en location est inférieure à la demande. L’État aussi accorde ces avantages pour cibler les investisseurs privés. Cela va permettre de faire rénover des monuments historiques.
Le site Planète Internet précise que pour le placement immobilier qui implique un mécanisme de défiscalisation ou non, il faut prendre en compte les attentes du marché. Cela est nécessaire pour maximiser la rentabilité d’investissement afin d’aligner la capacité d’épargne.
